Avec le nouvel été (et automne) chaud et sec que nous venons de vivre, les discours autour de la situation environnementale se polarisent autour de deux pôles distincts, histoire de bien animer les déjeuners en famille. Le premier relativise fortement la gravité des phénomènes en cours (« on a déjà connu ça, on s’adaptera facilement »), quand l’autre penche pour un profond fatalisme (« tout est foutu, il est trop tard pour agir »).
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La croisée des chemins permanente
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Avec le nouvel été (et automne) chaud et sec que nous venons de vivre, les discours autour de la situation environnementale se polarisent autour de deux pôles distincts, histoire de bien animer les déjeuners en famille. Le premier relativise fortement la gravité des phénomènes en cours (« on a déjà connu ça, on s’adaptera facilement »), quand l’autre penche pour un profond fatalisme (« tout est foutu, il est trop tard pour agir »).